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Des professionnels de la santé originaires des pays voisins accusent des scores bas aux tests

Redigé par IGIHE
Le 26 novembre 2016 à 04:43

Au cours d’une évaluation et suivi annuel qu’effectue l’Ordre National rwandais des Médecins/ONM, il a été constaté pour cette année que des médecins originaires de pays limitrophes comme l’Uganda ou la RDC en quête de d’emploi au Rwanda font preuves de peu de savoir-faire.
Cette conclusion de l’ONM survient après avoir constaté les résultats d’une série de tests nationaaux annuels d’évaluation de niveaux professionnels que subissent les intervenants dans le domaine médical rwandais et administré par le (...)

Au cours d’une évaluation et suivi annuel qu’effectue l’Ordre National rwandais des Médecins/ONM, il a été constaté pour cette année que des médecins originaires de pays limitrophes comme l’Uganda ou la RDC en quête de d’emploi au Rwanda font preuves de peu de savoir-faire.

Cette conclusion de l’ONM survient après avoir constaté les résultats d’une série de tests nationaaux annuels d’évaluation de niveaux professionnels que subissent les intervenants dans le domaine médical rwandais et administré par le Rwanda Allied Health professional Council (RAHPC).

Ces tests sont subis par des laborantins, des oculistes et ophtalmologues, des nutritionnistes, dentistes, anésthésistes et dermatologues.

KT Press qui publie l’informatrion constate que sur le palmarès des résultats, les professionnels de la santé étrangers opérant dans les hopitaux rwandais tirent la queue, signe de peu de connaissance dans leurs carrières.

Selon RAHPC, sur 557 concourants ayant un niveau licence en sciences de la santé, seuls 165 ont satisfait aux tests.

Dans le Test de RHPC administré à 156 laborantins, seuls six concourants ont pu être reçus.

Mais le test en question a montré qu’en général, les médecins laborantins opérant au Rwanda ont besoin de se ressourcer car ce test a éliminé 165 laborantins et seuls 54 ont pu bien se positionner.

"Nous pensons que les résultas de ces tests montrent des écueils dans les programmes de formation médicale administrés dans leurs pays", a confié à KT Press Jean Baptiste Ndahiriwe, le Registraire près l’Ordre National des Médecins.

"Les conditions de permission de travailler sont particulièrement difficiles pour nous. Après notre graduation, nous passons cinq ans à nouys occuper à d’autres jobs en attendant nos diplomes. Ceci expliquie nos faibles résultats au test", a dit un participant malheureux à ce test.

"Et puis, le test se fait en anglais moi qui ai fait tout mon cursus académique en français", a dit un participant congolais tentant d’expliquer son bas score.


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