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FMI satisfait du taux de croissance de l’économie rwandaise pour 2014/15

Redigé par IGIHE
Le 29 février 2016 à 11:20

Le représentant résidant du FMI au Rwanda, Alun Thomas, a apprécié positivement la croissance économique du Rwanda malgré les défis constatés au cours de l’an 2015.
Alun Thomas a dit qu’en Octobre 2015, des experts du FMI ont constaté au cours des deux premiers trimestres de cette année-là l’économie rwandaise a connu une croissance de 7 à 7.5% alors qu’elle était prévue pour 6.5% au cours de cette période-là.
"La production agricole s’est accrue de 5%, les industries et services de 7% autant que cela était (...)

Le représentant résidant du FMI au Rwanda, Alun Thomas, a apprécié positivement la croissance économique du Rwanda malgré les défis constatés au cours de l’an 2015.

Alun Thomas a dit qu’en Octobre 2015, des experts du FMI ont constaté au cours des deux premiers trimestres de cette année-là l’économie rwandaise a connu une croissance de 7 à 7.5% alors qu’elle était prévue pour 6.5% au cours de cette période-là.

"La production agricole s’est accrue de 5%, les industries et services de 7% autant que cela était au cours des années antérieures. Le secteur de la construction est resté vivace. On le voit aux immeubles d’hôtels et autres commerciaux qui poussent partout dans le pays",

a dit Thomas qui trouve que cette croissance a été également générée par l’application des TICs, les services de santé et l’extraction minière.
Thomas a fait un constat : Au cours de l’an 2015, la dévaluation de la monnaie rwandaise par rapport au dollar a été de 7.6% alors qu’elle était de 3.6% pour l’an 2014.

Selon lui, le secteur construction et l’extraction minière vont ralentir leurs activités au cours de 2016 au point qu’il influencera le ralentissement de la croissance économique.

"Un regard rétrospectif trouve qu’aucours de 2011/12, les taxes et impôts pesaient pour 13% dans le PIB au moment où ils comptaient pour 15.4% pour l’exercice 2014/15. Il est intéressant de noter cette augmantation de 2%, chose rare chez les autres pays du monde", a-t-il dit.
Il a néanmoins recommendé beaucoup d’efforts pour que les prévisions du taux de 16% des impôts dans le PIB soient atteintes en 2017/18.


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