Lutte corruption : Mention Très Bien pour le Rwanda

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Le 26 octobre 2013 à 12:45

Deux années successives. Le Rwanda récidive positivement. Il conserve la première place pour la Communauté Est Africaine, au palmarès dressé par Transparency International (TI) pour pays combattant la corruption.
Le Rapport de TI dit que sur son échelle d’évaluation du niveau de la Corruption dans un pays donné, le Rwanda est coté avec 4%, le Kenya 709%, la Tanzanie avec 12.9%, le Burundi avec 18.6% et enfin l’Ouganda avec 26.8%. Pour ce qui est du Rwanda, le rapport de TI publié à Bujumbura, indique (...)

Deux années successives. Le Rwanda récidive positivement. Il conserve la première place pour la Communauté Est Africaine, au palmarès dressé par Transparency International (TI) pour pays combattant la corruption.

Le Rapport de TI dit que sur son échelle d’évaluation du niveau de la Corruption dans un pays donné, le Rwanda est coté avec 4%, le Kenya 709%, la Tanzanie avec 12.9%, le Burundi avec 18.6% et enfin l’Ouganda avec 26.8%.

Pour ce qui est du Rwanda, le rapport de TI publié à Bujumbura, indique que certains services de l’Etat rwandais dont la Police, les instances de base, les Banques, les instances judiciaires et la RRA (Rwanda Revenue Authority) sont ceux-là où on constate des pratiques corruptrices.

Le Directeur Général de TI pour la Région des Grands Lacs, Samuel Kimeu, a déclaré à la revue African Review que la corruption est perceptible pour des classes sociales pauvres sans un pouvoir d’achat désireuses d’accéder aux services publics. Il se constate que certains dirigeants veulent toujours des pots de vin pour s’exécuter dans les prestations qu’ils doivent gratuitement à la population.

Les recherches de TI montrent bien que les pratiques corruptrices sont nombreuses. 64% des kenyans interrogés disent que la corruption a eu plus d’acuité pour cette année et que la Police nationale kenyane est plus terrassée par ce fléau, suivi du Ministère des terres, de la justice et du Service national de l’Identité.

Pour réaliser ce travail, TI a interrogé 10 mille personnes dont 2.000 Kenyans.


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