Abner Gahaya Cyusa, 20 mois, est né avec une complication cardiaque appelée en anglais « Ventricular Septual Defect » (VSD). Il a besoin de 15 000 $ pour se rendre en Inde pour une chirurgie appropriée.

Cette malformation cardiaque est l’un des défauts les plus communs des maladies cardiaques congénitales. Si cette malformation n’est pas corrigée à temps, elle conduit à l’insuffisance cardiaque et, finalement, à la mort.

Selon The New Rimes, les parents de Gahaya, Benjamin Ngarambe et Christine Dusabe, ont remarqué ce défaut cardiaque alors qu’il n’avait que sept mois. Le nourrisson avait connu infections et des virus. Quand ses parents ont consulté un pédiatre, il leur a recommandé une intervention chirurgicale du cœur en Inde.

 Le médecin pédiatre a toutefois indiqué que leur fils ne pouvait pas être mis sur la liste d’attente parce que son état n’était pas aussi mauvais que celui d’autres malades.

Selon son père Ngarambe, le bébé a une poitrine gonflée, des complications respiratoires et des évanouissements.

Malgré son poids de neuf kilogrammes seulement, Gahaya le bébé de 20 mois est encore un enfant très ludique bien qu’il devient parfois de mauvaise humeur.

Le Bébé Gayaha est actuellement sous la cure de propanolol qu’il doit prendre toutes les huit heures.

Dans une lettre adressée aux parents de Gahaya, le Dr Muthu Jothi, un médecin spécialiste cardiologue pédiatre à l’Hôpital Apollo Indraprastha de New Dehli, en Inde, « le coût de la chirurgie sera d’environ 9000 dollars américains et un séjour de 14 jours. Après l’opération, il devra rester encore 7 jours à New Dehli ».

Les parents de Gahaya sollicitent du soutien, que ce soit du gouvernement ou d’autres sympathisants, afin de leur facilites afin de se rendre à New Delhi.

 « Je suis inquiet, il peut s’écouler un certain temps avant que notre fils soit sur la liste de ceux prévus à la chirurgie parce qu’il y a une longue liste d’attente. Mon souhait est de pouvoir collecter les 15 000 dollars américain pour la chirurgie à et d’autres dépenses à l’hôpital », a dit Ngarambe, le père de l’enfant en danger de mort.

Il a ajouté qu’il ne peut pas rassembler cette somme et, par conséquent a invité le public à lui venir en aide afin de sauver son unique enfant.