Et les réactions furent unanimement les mêmes : non, pas Jo, pas lui, pas maintenant.

Hier, nous apprenions stupéfaits, que Jo venait de passer l’arme à gauche brutalement.

Que retenir de ces vagues qui déferlent en hommages et souvenirs ?

Nous garderons de Jo son authenticité, son humanité. Et c’est cela qui faisait son charme contagieux. Car il y avait tout ou presque chez lui.

Cette bienveillance toute naturelle qui diffusait la chaleur humaine et la lumière autour de lui et bien malgré lui.

Jo c’était la joie de vivre qu’il partageait sans modération. Et il a accordé de l’importance à tous et à chacun avec la liberté qui était la sienne.

Je salue ta force de caractère et l’âme de ton bel esprit.

Vas Jo et reprend à l’attention de Saint Pierre ce passage de Lamartine dans son célèbre poème, Le Lac : « … que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, que les parfums légers de ton air embaumé, que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,
Tout dise : ils ont aimé ! »

Adieu Jo et repose en paix !