Cette décision intervient au troisième jour de conflits intenses suite à une offensive initialement lancée par le Hamas depuis le territoire palestinien en direction d’Israël.

L’annonce officielle de M. Gallant a été relayée via une vidéo diffusée par ses services.

Le ton Du Mr défense de l’état hébreu est clair et sans équivoque :

« Pas d’électricité, pas d’eau, pas de gaz, tout est fermé ».

Le ministre Yoav Gallant n’a pas hésité à qualifier ses adversaires en des termes forts, affirmant :

« Nous combattons des animaux et nous agissons en conséquence ».

Le bilan humain depuis le commencement de cette offensive est lourd des deux côtés.

En Israël, plus de 700 personnes ont perdu la vie. Parmi ces victimes, 250 ont été tragiquement tuées lors d’une rave party proche de la frontière gazaouie, comme l’a signalé un bénévole impliqué dans la récupération des corps.

Quant à Gaza, les frappes orchestrées par l’armée israélienne ont causé la mort d’au moins 493 personnes, d’après les dernières données fournies par les autorités locales.

Il est important de rappeler que la bande de Gaza, où résident quelque 2,3 millions de Palestiniens, est sous blocus israélien depuis 2007. Cette région, déjà fragilisée par une situation socio-économique difficile, doit désormais faire face à ce nouveau tour de vis sécuritaire.

Des heurts intenses continuent donc de secouer la région, opposant les troupes israéliennes à la faction armée du Hamas.

Le dernier bilan, de plus en plus lourd, s’établit à plus de 1 100 décès. Face à cette situation préoccupante, plusieurs nations ont entrepris des démarches afin de rapatrier leurs ressortissants présents dans la zone, qu’il s’agisse d’étudiants ou de touristes en séjour.

Jusqu’à présent, le Népal, le Brésil, la Grèce et la Pologne ont manifesté leur intention d’organiser le retour de leurs citoyens.