Bijoux de famille, SM et tapin

Redigé par Le Courrier international
Le 9 avril 2013 à 10:16

Ah, les poussées hormonales ! Un ado allemand de 14 ans a raflé les bijoux de sa mère et les a mis en gage au mont-de-piété pour financer deux visites au bordel. Le butin, évalué entre 2 000 et 3 000 euros, a été gagé pour 300 euros.
Le site web du film – Meet the Fokkens (titre original : Ouwehoeren [Vieilles P…]) Le site web du film – Meet the Fokkens (titre original : Ouwehoeren [Vieilles P…])
L’enfant aux coûteuses montées de sève a été traîné au poste par sa maman, a fait savoir la police de (...)

Ah, les poussées hormonales ! Un ado allemand de 14 ans a raflé les bijoux de sa mère et les a mis en gage au mont-de-piété pour financer deux visites au bordel. Le butin, évalué entre 2 000 et 3 000 euros, a été gagé pour 300 euros.

Le site web du film – Meet the Fokkens (titre original : Ouwehoeren [Vieilles P…]) Le site web du film – Meet the Fokkens (titre original : Ouwehoeren [Vieilles P…])

L’enfant aux coûteuses montées de sève a été traîné au poste par sa maman, a fait savoir la police de Karlsruhe, citée par Die Welt.

A Cologne, rapporte le Kölner Stadt Anzeiger, c’est un adepte du sadomasochisme qui a poursuivi une prostituée en justice.

Motif : la professionnelle frappait trop fort. “Mes clients me paient pour que je leur fasse mal”, s’est défendue la péripatéticienne. La dame est accusée, entre autres, d’avoir pointé un couteau de cuisine sur la gorge du plaignant, ligoté sur un lit, pour lui soutirer sa carte de crédit et son code.

S’il est quelqu’un pour qui la prostitution n’a pas de secrets, c’est bien Louise Fokken. Avec sa sœur Martine, elles ont presque cent ans de tapin derrière elles.

Louise, 70 ans, fait toujours commerce de ses charmes à Amsterdam. Martine, sa jumelle, a pris sa retraite il y a deux ans pour cause d’arthrose.

“Je ne pouvais plus faire les positions”, a-t-elle confié au Guardian. Les deux femmes font l’objet d’un film – Meet the Fokkens (titre original : Ouwehoeren [Vieilles P…]) – et ont récemment écrit un livre sur leurs vies tarifées dansle Quartier rouge.

Autres temps, autres mœurs : “Autrefois, le flic du coin tapait à la vitrine si une fille montrait trop sa cheville, maintenant les filles dealent de la coke dans leur alcôve”, soupire Louise.


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