Quatre personnes, dont un jeune garçon d’une dizaine d’années qui vendait des œufs pour vivre, ont été tuées, et une vingtaine d’autres blessées dans la nuit de samedi à dimanche 7 février, dans trois attaques distinctes à la grenade à Bujumbura, dont la plus meurtrière a eu lieu dans le quartier de Kinama dans le nord de la capitale burundaise. Les actes de violence sont redevenus quasi-quotidiens depuis environ une semaine au Burundi.
Quatre morts et une vingtaine de blessés dans la nuit de samedi à dimanche, cinq autres la veille... Les attaques à la grenade, les assassinats ciblés ou encore les assauts sur des positions de police se sont multipliés depuis quelques jours au Burundi, après un début de mois de janvier plutôt calme.
Interrogé sur cette recrudescence de violence, le porte-parole de la police, Pierre Nkurikiye, qui nie l’existence de nouvelles rébellions au Burundi, refuse de les commenter. Mais un haut gradé de la police, sous couvert d’anonymat, explique qu’il ne s’agit pas d’une simple coïncidence :
Avec africatime.com
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