Des spécialistes mandatés par l’ONU se sont rendus pour la première fois au Burundi pour enquêter sur les violations des droits de l’homme depuis le début de la crise en avril 2015. Un premier contact "satisfaisant" mais où beaucoup reste encore à faire.
"Il y a une lueur d’espoirs au Burundi". C’est par ces mots que trois représentants de l’ONU, spécialiste des droits de l’homme, ont conclu lors d’une conférence de presse à l’issue d’une visite de huit jours sur le sol burundais.
Les experts ont rencontré non seulement les autorités, mais aussi des groupes de la société civile, des communautés religieuses, et des victimes présumées de violations des droits de l’homme. Ils se sont également rendus dans le centre du pays, pour rencontrer les auteurs du putsch raté du 13 avril 2015, emprisonnés dans une prison à Gitega. Pas de rencontre avec le président Pierre Nkurunziza, mais un entretien avec un des vice-présidents du Burundi.
L’Algérienne Maya Sahli-Fadel, qui faisait partie de la délégation, a expliqué :
Nous avons constaté une accalmie, pas une situation perturbée à Bujumbura. Nous remarquons que le Burundi est à la ‘croisée des chemins’. Du côté des autorités institutionnelle, nous avons le sentiment qu’elles ont une volonté d’aller de l’avant pour améliorer le climat de paix et de sécurité.
Avec africatime.com
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