Le Burkina Faso vient de célébrer les deux ans de l’insurrection populaire qui chassa du pouvoir Blaise Compaoré. Deux ans après, de nombreuses attentes restent encore sans réponse. C’est ce que regrette Guy Hervé Kam. Le porte-parole du Balai citoyen, qui fut l’un des fers de lance du soulèvement, est aujourd’hui l’un des avocats des familles des victimes dans le dossier du putsch tenté l’année suivante, en septembre 2015, sous la direction du général Diendéré.
« Si la justice fait son travail et que les personnes responsables soient jugées et condamnées, il peut y avoir un processus de réconciliation. (...) Pour nous, le tout, c’est qu’il y ait un procès équitable. »
Avec rfi.fr
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