« Je préfère l’excitation du porno à une intimité réelle »

Redigé par Jean-François ISIBO
Le 14 mai 2012 à 04:46

Une étude australienne s’intéressse au phénomène de l’addiction au porno et à son impact sur ceux qui en souffrent. 20% des 800 participants déclarent qu’ils préfèrent l’excitation de regarder du porno plutôt que de partager une intimité réelle avec quelqu’un.
L’enquête révèle que la plupart des accros au porno ont commencé à en regarder très tôt, entre 11 et 13 ans. 47% des personnes interrogées avouent regarder des vidéos pornographiques entre 30 minutes et trois heures par jour.
Les utilisateurs les plus (...)

Une étude australienne s’intéressse au phénomène de l’addiction au porno et à son impact sur ceux qui en souffrent. 20% des 800 participants déclarent qu’ils préfèrent l’excitation de regarder du porno plutôt que de partager une intimité réelle avec quelqu’un.

L’enquête révèle que la plupart des accros au porno ont commencé à en regarder très tôt, entre 11 et 13 ans. 47% des personnes interrogées avouent regarder des vidéos pornographiques entre 30 minutes et trois heures par jour.

Les utilisateurs les plus excessifs reconnaissent que cette addiction a détérioré leur vie professionnelle. Le professeur Sitharthan donne l’exemple d’un garçon qui refusait d’aller à l’école et ignorait ses amis pour regarder du porno en ligne jusqu’au petit matin.

« Certains voient ça comme une maladie morale, nous prenons le parti de dire qu’il ne s’agit pas d’une maladie, et surtout pas morale. C’est une étape normale quand on grandit », explique le scientifique, qui pense que l’on peut traiter l’addiction au porno à la manière de l’alcoolisme, en réduisant les doses petit à petit.


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