Jean Ping : « Les Gabonais, peuple en danger, demandent l’assistance du monde entier »

Redigé par IGIHE
Le 31 octobre 2016 à 11:01

Jean Ping est arrivé à Paris le vendredi matin, le 28 octobre. L’opposant gabonais doit rester en France quelques jours. Puis, il doit se rendre également aux Etats-Unis durant la semaine. L’ancien chef de la commission de l’Union africaine ne reconnaît pas la victoire d’Ali Bongo à la présidentielle et il se considère comme président élu. Samedi 29 octobre, il a tenu un meeting sur le parvis des droits de l’homme, au Trocadéro, à Paris, afin de remercier la diaspora pour son action. Deux mois après sa (...)

Jean Ping est arrivé à Paris le vendredi matin, le 28 octobre. L’opposant gabonais doit rester en France quelques jours. Puis, il doit se rendre également aux Etats-Unis durant la semaine. L’ancien chef de la commission de l’Union africaine ne reconnaît pas la victoire d’Ali Bongo à la présidentielle et il se considère comme président élu. Samedi 29 octobre, il a tenu un meeting sur le parvis des droits de l’homme, au Trocadéro, à Paris, afin de remercier la diaspora pour son action. Deux mois après sa défaite électorale, l’opposant reste ferme sur ses positions. Il est l’invité de Sébastien Németh.

« Nous nous adressons à tout le monde. […] Les Gabonais se considèrent comme un peuple en danger. Et ils demandent l’assistance du monde entier. Que fait-elle, l’opinion internationale ? C’est à elle de prendre ses responsabilités. »

Avec rfi.fr


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