La pratique du cunnilingus serait une stratégie pour minimiser les risques d’infidélité

Redigé par IGIHE
Le 12 août 2013 à 10:43

L’art et la pratique du coït recèlent de nombreux bienfaits, souvent inimaginables. Depuis quelques années, les études sur les différentes pratiques et leurs conséquences se multiplient.
Le mois dernier, le professeur Fleisher, de l’université de Hambourg, avait établi que les femmes qui avalent après une fellation maigrissent plus vite que les autres. Cela, en raison des propriétés moléculaires du sperme. Propriétés qui vont jusqu’à protéger des cancers de type hormonal - pratiquer deux fois par semaine (...)

L’art et la pratique du coït recèlent de nombreux bienfaits, souvent inimaginables. Depuis quelques années, les études sur les différentes pratiques et leurs conséquences se multiplient.

Le mois dernier, le professeur Fleisher, de l’université de Hambourg, avait établi que les femmes qui avalent après une fellation maigrissent plus vite que les autres. Cela, en raison des propriétés moléculaires du sperme. Propriétés qui vont jusqu’à protéger des cancers de type hormonal - pratiquer deux fois par semaine diminuerait le risque de cancer du sein de 40 % - selon une étude menée en Californie du Sud.

Après de multiples études sur les pratiques à destination des hommes, des scientifiques américains du Michigan ont renversé la vapeur et mis en lumière une certaine pratique à destination des femmes : le cunnilingus.

En premier lieu, cette équipe de l’université d’Oakland souhaitait étudier l’art du cunnilingus et ses capacités de rétention de sperme. Ils pensaient que cela permettait aux femmes de mieux retenir le sperme au moment de l’orgasme, aidant ainsi à la procréation. Mais les résultats de leur étude menée sur 243 hommes se sont révélés non concluants. Sur leurs objectifs, en tout cas.

Publiée dans le journal Evolutionary Psychology, l’étude leur a néanmoins permis de mettre en lumière que le cunnilingus intervient dans les relations avec son partenaire, et pas de n’importe quelle manière…

En effet, les hommes utiliseraient le cunnilingus et l’orgasme éventuellement provoqué comme stratégie - pleinement consciente ou non - afin de retenir leurs conjointes et de limiter les risques qu’elles partent chercher du plaisir ailleurs. Une pure et simple tactique de rétention !

"Le cunnilingus et l’orgasme féminin sont des éléments d’une stratégie plus complexe établie par les hommes pour retenir leurs partenaires, mais cette seule hypothèse ne peut constituer une explication exhaustive", nuance tout de même l’équipe de scientifiques.

En réaction à cette étude, de nombreux lecteurs se sont dits agacés que les scientifiques analysent seulement "mécaniquement" cette pratique. Omettant de prendre en compte le simple plaisir d’une telle pratique.

Une étude qui mérite d’être débattue, mais sûrement pas avec de mauvaises langues.

dhnet.be


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