Elle s’adressait aux jeunes et donc une population plutôt susceptible d’apporter et de contribuer aux changements des mentalités.
C’était ce 21 août à l’occasion du « petit déjeuner de prière pour les jeunes leaders ».
Ella a insisté auprès des jeunes afin qu’ils adoptent des comportements qui reflètent les valeurs qui sont le ferment de la famille et dont ils puissent être fiers.
C’est entre autres l’entente et la solidarité dans le foyer, la parité en tout et pour tout. C’est au fond le respect mutuel.
Elle n’a pas manqué de rappeler une évidence : les dirigeants qui croient en Dieu sont des agents de l’unité de leur pays.
Ils ne prônent pas l’unité, ils la vivent et la font rayonner. Cela se traduit dans leur vie quotidienne par les paroles et les actes.
Elle est toujours d’un bon conseil Mme Jeannette Kagame.
En disant aux jeunes que tous les problèmes trouvent une solution dans un dialogue franc et sincère, qu’on ne doit pas être observateur mais acteur de sa vie, elle ne croyait pas si bien dire.
Elle a insisté sur les valeurs humaines qui permettent de vivre notre humanité, de vivre ensemble dans l’harmonie, le respect et la bienveillance.
Elle a dit aux jeunes de ne pas se laisser déborder par le vice, de ne pas avoir honte d’être des modèles et de le propager.
Elle a rappelé que les enfants élevés dans une famille paisible acquièrent aisément des valeurs qui cimentent leur vie.
Et de rappeler cette maxime pédagogique : « l’exemple n’est pas le meilleur moyen pour éduquer, c’est le seul ».
Ce n’est pas la peine de ressasser les valeurs devant ses enfants, ils ont besoin que les parents en soient les exemples dans leur quotidien.
Les enfants imitent les parents. Lesquels se fixent dans l’inconscient de l’enfant et orientent par la suite sa conduite et son mode d’appréhension d’autrui.
Le père et la mère sont les personnages les plus importants dans l’entourage de l’enfant et les représentations s’enrichissent à travers les différentes étapes de la croissance jusqu’à l’âge adulte.
Le défi lancé aux jeunes est fondateur : comment chacun peut permettre à l’autre de mener une vie emprunte de joie et de bonne humeur afin de partager ces ingrédients autour de soi.
Il faut appliquer la bienveillance. Ce n’est pas la peine d’abandonner le poids du foyer sur les épaules d’une seule personne. C’est égoïste, lourd et épuisant.
Dans une belle mélodie, Francis Cabrel chante « c’est une question d’équilibre ». Un foyer harmonieux maintien son équilibre pour le bien de tous ces membres.
Il n’y a plus qu’à écouter et appliquer ces bons conseils pour soi, pour sa famille et pour la nation.
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