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Les hackers actifs contre les institutions militaires et bancaires rwandaises, russes...

Redigé par IGIHE
Le 9 août 2016 à 07:17

Les chercheurs de sociétés informatiques de californie- Symantec- et de Russie- Kaspersky- ont annoncé avoir dépisté des hackers qui sont actifs dans l’espionnage informatique contre la Russie, la Chine, l’Iran, le Rwanda, la Belgique et la Suède.
Ces chercheurs ont pu découvrir que ces hackers se sont nommés STRIDER ou PROJECTSAURON.
Les chercheurs de Symantec ont annoncé que ces hackers ont commencé leurs activités en 2011 en étroite collaboration avec une Agence d’Espionnage qu’ils n’ont pas voulu (...)

Les chercheurs de sociétés informatiques de californie- Symantec- et de Russie- Kaspersky- ont annoncé avoir dépisté des hackers qui sont actifs dans l’espionnage informatique contre la Russie, la Chine, l’Iran, le Rwanda, la Belgique et la Suède.

Ces chercheurs ont pu découvrir que ces hackers se sont nommés STRIDER ou PROJECTSAURON.

Les chercheurs de Symantec ont annoncé que ces hackers ont commencé leurs activités en 2011 en étroite collaboration avec une Agence d’Espionnage qu’ils n’ont pas voulu citer.

Les Strider se sont introduit dans les systèmes de ces Etats grâce au virus dit REMSEC.

REMSEC s’est donc introduit dans les logiciels de ces institutions-clé officielles, militaires, centres de recherche scientifique et technologique, centres d’information et insititions financières.

Ce virus REMSEC peut s’introduire dans tout le charroi informatique d’un pays donné au lieu d’attaquer un seul laptop individuel. Il permet toute la largeur de manoeuvres aux hackers de s’introduire dans les fichiers et d’y puiser toutes les informations qu’ils veulent.

Symantec a, quant à elle, récemment révélé que quatres complexes industriels et des individus russes, une industrie d’aviation chinoise, une industrie suédoise et une ambassade accréditée en Belgique sont dans le viseur de ces hackers.

De son côté, Kaspersky a trouvé que trente institutions russes, iraniennes et rwandaises ont été attaquées par lesdits hackers. L’attaque se serait étendue à des pays parlant italien.

Les Chercheurs de Symantec évaluent sérieusement la capacité de nuisance technologique de ces hackers et n’hésitent pas à avancer qu’ils doivent être soutenus et encouragés dans leur criminelle entreprise par un puisant pays donné.

"Nous pensons qu’une cyberattaque de telle envergure avec l’objectif de vol d’informations secrètes doit être téléguidée par la direction d’un pays donné. Kaspersky Lab n’a pas de preuve de ce qu’il avance mais au vu de ce que fait Project Sauron, il est fort possible que cela a demandé beaucoup d’experts et un gros budget d’au moins un million de dollars", a dit Kaspersky.
Orla Fox, Directeur de Symantec chargé de la sécurité cybernétique a trouvé que ces deux cyberattaques qui viennent de survenir sortent de l’ordinaire.

Du côté officiel rwandais, le Ministre Jean Philbert Nsengimana a déclaré que le Rwanda a subi 1000 cyberattaques vite dépistées et maîtrisées.

"Ces hackers ont tenté plus de 23 millions de fois de vol d’argent en ligne à la Banque Centrale rwandaise la BNR (Banuque Nationale Rwandaise), mais toutes les fois leurs tentatives ont été bloquées par les agents de cybersécurité.

Les experts dans la lutte contre la cybercriminalité conseillent aux utilisateurs de comptes internet de concevoir des mots de passe longs où se mêlent chiffres et lettres.


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