Cela est contesté par l’opposition et une grande partie de la population.

Face à cette situation, certains acteurs politiques, notamment du FCC de l’ancien président Joseph Kabila, appellent la population congolaise à se mobiliser pour mettre fin à la dictature qui sévit dans le pays.

Ils encouragent les citoyens à recourir à la désobéissance civile, une forme de protestation non violente qui consiste à enfreindre une loi ou une règle jugée injuste.

La désobéissance civile est une arme puissante qui a été utilisée avec succès à travers l’histoire pour lutter contre l’oppression, la discrimination et l’injustice.

Elle a notamment été utilisée dans le cadre du mouvement des droits civiques aux États-Unis, du mouvement anti-apartheid en Afrique du Sud, ou encore du mouvement de résistance au régime militaire en Birmanie.

Dans le cas de la RDC, la désobéissance civile pourrait être un moyen efficace pour mettre fin à la dictature.

Elle permettrait de défier les lois injustes et faire pression, d’attirer l’attention des médias et du public sur la cause défendue. Mais aussi obliger les institutions et le grand public à remettre en question le statu quo et créer un sentiment de solidarité entre les congolais.

Cependant, il est important de noter que la désobéissance civile est un acte courageux qui peut entraîner des risques.

Les citoyens qui décident de recourir à cette forme de protestation doivent être conscients des conséquences possibles, notamment des arrestations, des détentions ou des violences.

La désobéissance civile est une option à envisager pour les citoyens congolais qui souhaitent mettre fin à la dictature. Cependant, il est important de bien planifier les actions à mener et de se préparer aux risques potentiels.