Burundi : François Hollande et Thomas Boni Yayi appellent à la fin des violences .

Redigé par IGIHE
Le 15 février 2016 à 02:00

Les présidents français et béninois François Hollande et Thomas Boni Yayi ont "conjointement appelé" lundi leur homologue burundais Pierre Nkurunziza "à mettre fin aux violences dans son pays", a indiqué l’Élysée. Un appel à leur homologue Pierre Nkurunziza
À l’issue de l’entretien des deux chefs d’État, la présidence française a déclaré dans un communiqué, qu’ils « ont conjointement appelé le président du Burundi à mettre fin aux violences dans son pays et a accepté de dialoguer avec ses opposants sans (...)

Les présidents français et béninois François Hollande et Thomas Boni Yayi ont "conjointement appelé" lundi leur homologue burundais Pierre Nkurunziza "à mettre fin aux violences dans son pays", a indiqué l’Élysée.
Un appel à leur homologue Pierre Nkurunziza

À l’issue de l’entretien des deux chefs d’État, la présidence française a déclaré dans un communiqué, qu’ils « ont conjointement appelé le président du Burundi à mettre fin aux violences dans son pays et a accepté de dialoguer avec ses opposants sans condition préalable ».

Le 31 janvier dernier, l’Union africaine décidait d’envoyer une délégation de « hautes personnalités » pour obtenir le consentement de Bujumbura quant à l’envoi de troupes.
Les autres thématiques abordées pendant la rencontre

Les échanges ont ensuite porté sur les prochaines élections présidentielles béninoises. François Hollande a exprimé à Thomas Boni Yayi « ses félicitations pour ses deux mandats à la tête de la République du Bénin et a souligné la vitalité de la démocratie béninoise », toujours selon la présidence française.

La présidentielle au Bénin

Il a cependant évoqué aussi « le souhait que les élections présidentielles de fin février se passent dans les meilleures conditions », alors que son homologue béninois, élu pour la première fois en avril 2006 à la tête de son pays et réélu cinq ans plus tard, s’est engagé à quitter le pouvoir à l’issue de ces deux mandats.

Le terrorisme en Afrique de l’Ouest

Suite logique des récents attentats ayant frappé Bamako et Ouagadougou, les deux chefs de l’État ont également « marqué leur mobilisation pour lutter contre les groupes terroristes en Afrique de l’Ouest », selon l’Élysée.

Avec africatime.com


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