Le tout dernier portait titre de "All thieves must be Killed" ( Tous les brigands doivent être tués) accuse les force de l’ordre d’avoir tué 37 citoyens originaires de l’Ouest du Rwanda depuis 2016.
Après un tollé de protestations contre ces accusations qualifiées de gratuites surtout que la Commission Rwandaise des Droits de l’Homme (CNDH) avait alors fait un contre rapport pour établir que les personnes qui étaient reportées mortes par HRW étaient bien vivantes, que d’autres citées dans le dit rapport étaient mortes de maladie.
Ce rapport de HRW a fait que le Parlement rwandais avait alors convoqué la Présidente de la CNDH, Mme Madeleine Nirere, qui avait déclaré que ce rapport était truffé de mensonges.
Le Parlement avait alors exigé de HRW de reprendre ses enquêtes et refaire un rapport qui ne doit pas continuer à salir l’image du Rwanda en matière de respect des droits humains. Le Parlement avait alors donné au Gouvernement rwandais 30 jours pour traiter de façon appropriée cette question de HRW.
Le Chef de Division de la Coopération judiciaire internationale près le Ministère de la Justice, Mme Providence Umurungi, a, par la suite, confié à IGIHE que la requête du Parlement a été satisfaite. Dans sa lettre au Parlement, le Gouvernement a fait savoir que suite à cette campagne mensongère répétée de HRW, le Gouvernement rwandais a décidé de rompre la coopération avec cette ONG, qu’il ne ratifiera pas de tels accords avec elle pour l’année 2018 qui allait suivre ; accords signés le 29 juin 2016 qui ont expiré le 29 mars 2017.
"Nous avons constaté que les activités de HRW n’avaient rien de protection des droits humains, qu’elles sont plutôt politiquement motivées", a dit Murungi justifiant la non reconduction de ces accords, que ledit rapport de HRW publié en juillet 2017 l’avait été quand HRW n’avait pas déjà une autorisation valide d’opérer sur le territoire rwandais.
Cette fonctionnaire du gouvernement trouve que la non ratification des accords par la partie gournementale est fondée dans la mesure où HRW n’a pas toujours satisfait à leur esprit depuis qu’elle a commencé à opérer au Rwanda.
"Il y avait une clause des accords qui recommandait HRW de conférer avec le ministère de la Justice au cas où elle constatait une entrave aux droits de l’homme avant de la publier", a confié Murungi montrant que tout le tort commis par cette ONG devait obéir à des intérêts politiques non avoués, que par conséquent elle se disquialifiait laissant entrer dans le secteur d’autres ONGs disposées à respecter les termes des accords.
Murungi trouve qu’il n’est pas question de traîner en justice HRW pour ses accusations calomniatrices.
« Ce serait une façon de lui faire beaucoup de publicité qu’elle ne mérite pas », a-t-elle dit prenant plutôt le parti d’approcher les gens cités dans le rapport de HRW ‘‘All Thieves must be killed’’ comme morts et tués pourtant bien vivants et de les détraumatiser de « ce préjudice moral ».
Le Rwanda a toujours réagi contre les rapports de HRW qu’il trouvait ne pas suivre une méthodologie de recherche scientifique. Il dit tout haut que le contenu de tous ces rapports n’est pas du tout conforme à la vérité et donc non crédibles.
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