Trump, Johnson, Bush... Les moments d’ignorance les plus flagrants des candidats à la Maison Blanche

Redigé par IGIHE
Le 10 septembre 2016 à 11:16

BOULETTE - Gary Johnson, un des candidats à la présidentielle n’a jamais entendu parler d’Alep. Mais qu’il se rassure. Son ignorance ne l’empêchera pas forcément de faire carrière.
Gary Johnson : "C’est quoi Alep ?"
Candidat indépendant et crédité de 13% d’intentions de vote, Gary Johnson est sûrement le nouveau cauchemar des diplomates américains. Interrogé dans l’émission matinale "Morning Joe", il reste tout d’abord hyptnotisé parla question : "Que feriez-vous à propos d’Alep si vous étiez élu ?" (...)

BOULETTE - Gary Johnson, un des candidats à la présidentielle n’a jamais entendu parler d’Alep. Mais qu’il se rassure. Son ignorance ne l’empêchera pas forcément de faire carrière.

Gary Johnson : "C’est quoi Alep ?"

Candidat indépendant et crédité de 13% d’intentions de vote, Gary Johnson est sûrement le nouveau cauchemar des diplomates américains. Interrogé dans l’émission matinale "Morning Joe", il reste tout d’abord hyptnotisé parla question : "Que feriez-vous à propos d’Alep si vous étiez élu ?" Sûrement pas très bien réveillé, Gary Johnson répond… par une question : "Et c’est quoi Alep ?" puis enchaîne : "Vous plaisantez ?" Non, le présentateur ne plaisante pas. Mike Barnicle lui explique doctement qu’Alep est "l’épicentre de la crise des réfugiés". Depuis, le hashtag #WhatisAleppo prend son envol…

Donald Trump : Paris, capitale de l’Allemagne

L’autre cauchemar de la diplomatie américaine. En meeting à Atlanta, le milliardaire évoque la beauté de la Belgique, "une jolie ville". Autre bourde : après l’attaque contre un commissariat de police à Barbès en janvier 2016, il s’alarme sur Twitter : "L’Allemagne est un bazar total !" Sûrement un moment d’égarement, car aux dernières nouvelles, Donald Trump "adore" notre pays, et s’est rendu plusieurs fois à Paris.

George W. Bush : "Euh..."

George W. Bush ou la preuve que les électeurs américains n’accordent finalement pas trop d’importance aux connaissances géographiques de leurs candidats. En 1999, le républicain brigue la succession de Bill Clinton. Un journaliste un peu vicieux enchaîne les questions sur les personnalités avec qui il devra s’entretenir en cas de victoire. Président de la Tchétchénie, président de Taïwan, général en charge du Pakistan, Premier ministre de l’Inde… à chaque fois la réponse est la même : "Euh" Une fois à la Maison Blanche, George W. Bush continuera d’enchaîner les ratés. A son homologue brésilien, il demandera un jour si son pays compte aussi des Noirs. A une autre occasion, il évoquera l’alliance "d’un siècle et demi" entre les Etats-Unis et le Japon.

Avec lci.fr


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