Le président Paul Kagame a déclaré que c’est à la fois « une obligation juridique et obligation morale" d’éradiquer la violence contre les femmes et les filles. Le Président Kagame a déclaré cela aujourd’hui le 11 juil. 13 avant de lancer officiellement l’ « Africa Unite command Post-Exercice » qui rassemble 172 en provenance de 33 pays africains pour apprendre les meilleures pratiques pour mettre fin à la violence contre les femmes et les filles.

« Chaque secteur a son rôle à jouer et les efforts doivent être intensifiés pour éliminer la violence contre les femmes et les filles. Je suis heureux de voir que les organes de sécurité de l’Afrique sont en première ligne dans la lutte contre la violence basée sur le sexe, car il est inacceptable qu’une femme sur trois autour du monde a été battue, agressée sexuellement ou maltraitées. Les ramifications de ce type de violence vont au-delà de l’individu concerné et, par conséquent, les questions de manipulation de violence contre les femmes et les filles doivent faire partie intégrante de la formation de la sécurité et de l’application de la loi ".

Le président Kagame a exhorté les Africains à rejeter l’idée que la violence contre les femmes et les filles est un problème africain et a recommandé que les pays africains devraient veiller à ce que les forces de sécurité ne perpétuent pas la culture du silence autour de la violence contre les femmes et les filles.

Clotilde Mbaranga Gasarabwe, la Secrétaire général adjoint pour la sécurité de l’ONU, a livré un message du Secrétaire général de l’ONU au président Kagame, et a déclaré que les Nations Unies apprécie les grands progrès réalisés dans la lutte contre la violence et promouvoir l’égalité des sexes au Rwanda.