Ouverture des Etats Généraux de l’Agriculture et de l’Elevage

Redigé par IGIHE
Le 16 juin 2014 à 08:56

Une amélioration de 2 % est l’avancé qu’observe le Burundi sur la résolution du problème de la malnutrition. Ainsi, le Burundi arrive à 50% des critères sur la classification mondiale des pays où la population est bien nourrie.
Dans une étude faite par la FAO, les chiffres révèle que 925 millions de personnes au monde sont menacées par le fléau de la malnutrition.
Ce lundi 16 juin 2014, le ministère de l’Agriculture et de l’Élevage a organisé les états généraux de quatre jours dans le secteur qui entre (...)

Une amélioration de 2 % est l’avancé qu’observe le Burundi sur la résolution du problème de la malnutrition. Ainsi, le Burundi arrive à 50% des critères sur la classification mondiale des pays où la population est bien nourrie.

Dans une étude faite par la FAO, les chiffres révèle que 925 millions de personnes au monde sont menacées par le fléau de la malnutrition.

Ce lundi 16 juin 2014, le ministère de l’Agriculture et de l’Élevage a organisé les états généraux de quatre jours dans le secteur qui entre dans ses attributions. Le but est d’étudier ensemble les problèmes qui gangrènent le secteur de l’agriculture et de l’élevage, les changements à opérer pour relever le défi de la malnutrition au Burundi.
Des grandes personnalités tant nationales qu’étrangères, œuvrant dans le secteur de l’agriculture et de l’agriculture ont répondu présent dans ces états généraux ouverts par le Président Pierre NKURUNZIZA.

Dans son discours liminaires, le Président de la République du Burundi a souligné que le secteur de l’agriculture et de l’élevage est d’une grande importance pour le Burundi. En effet, indique le numéro un burundais, ce secteur fournit 50% des recettes de l’État et produit 95% de la nourriture consommée par la population burundaise.

Le président Pierre NKURUNZIZA a promis que l’État burundais s’engage à fournir plus d’efforts pour que ce secteur puisse se développer davantage dans l’optique d’éradiquer la malnutrition au Burundi. Et cela devra passer par l’augmentation de la production, la professionalisation des producteurs et appuyer tous les filières de ce secteur de l’agriculture et l’élevage y compris aussi la pèche.

Pour la ministre de l’agriculture et de l’élevage, Odette KAYITESI, ces états généraux viennent apporter des solutions durables des maux qui pèsent sur ce secteur. La ministre a insisté sur le problème des terres cultivables qui deviennent petites. Bien qu’il y a eu une augmentation du budget du ministère de l’agriculture et de l’élevage, le ministre Odette KAYITESI indique que jusque-là, ils ne sont pas encore arrivés aux objectifs d’augmenter la production et lutter contre la malnutrition dans le pays.


Publicité

AJOUTER UN COMMENTAIRE

REGLES D'UTILISATIONS DU FORUM
Publicité