Le président sortant affirmait avoir remporté le scrutin avec 65 % des voix, tandis que la Commission électorale devait publier les résultats définitifs le 27 novembre.
En outre, Umaro Sissoco Embaló a déclaré avoir été arrêté par des militaires, dirigés par le chef de l’armée de terre, sans affrontement physique.
Cependant, plusieurs sources rapportent que des coups de feu ont été entendus près de ses bureaux et de ceux de la Commission électorale avant son arrestation.
Par ailleurs, le chef de l’armée, le général Biague Na Ntan, son adjoint, le général Mamadou Kourouma Touré, ainsi que le ministre de l’Intérieur, Botché Candé, ont également été arrêtés.
De plus, aucune contestation n’a été observée de la part du principal opposant politique, Domingos Simões Pereira, dont le parti, le PAIGC, a soutenu un autre candidat, Fernando Dias.
Umaro Sissoco Embaló dirigeait le pays depuis février 2020 et avait à plusieurs reprises déjoué des tentatives de coup d’État, procédant à des réformes importantes au sein de l’armée.
Le 31 octobre dernier, plusieurs hauts officiers, dont les généraux Dahaba Na Walna, Domingos Nhanke et Mario Midana, avaient été arrêtés, soupçonnés d’organiser un complot contre lui.














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