Il faut réfléchir aux effets dévastateurs de ses promesses non tenues, de la corruption et de la dépravation morale de son entourage sur le plan politique. Ce qui entraine des conséquences d’une gouvernance calamiteuse, des répercussions sur la cohésion sociale et la stabilité de la RDC.
Tout d’abord, la récurrence des promesses non tenues est un des traits les plus marquants de cette figure tragique. L’espoir qu’il a suscité au début de son mandat s’est transformé rapidement en désillusion pour ses concitoyens.
Felix Tshisekedi qui s’engage sans cesse à réformer et à améliorer le bien-être général, manque cruellement d’action concrète. Dans de nombreux régimes, ce schéma a également été observé : les promesses de changement demeurent lettre morte, ce qui provoque une montée de frustration au sein de la population.
Il est de ces chefs d’États qui, malgré leur arrivée au pouvoir sous la bannière du changement, n’ont pas réussi à concrétiser leurs engagements en raison de la corruption omniprésente et des intérêts personnels qui priment sur le bien commun.
En multipliant les alliances pour les trahir ensuite, Felix Tshisekedi révèle un manque de constance et d’intégrité. Ce comportement est symptomatique de régimes autoritaires où les alliances politiques sont façonnées non pas pour le bien du pays, mais pour assurer la survie du pouvoir en place. Les trahisons, les mensonges et l’usage des boucs émissaires pour détourner l’attention des échecs renforcent l’idée d’une gouvernance instable et opportuniste.
L’un des cas réels est celui de leaders politiques qui, sous prétexte de réformes, ne cessent de manipuler l’opinion publique et d’impliquer des ennemis extérieurs pour justifier leur incapacité à gouverner de manière efficace.
Une autre caractéristique notable de Felix Tshisekedi est sa répression brutale de toute dissidence. Les voix critiques, qu’elles proviennent des médias, de l’opposition politique ou de la société civile, sont systématiquement étouffées. Loin de favoriser un débat démocratique, il mise sur la censure et la persécution pour faire taire ceux qui s’opposent à lui.
Cette tactique est un des ressorts les plus utilisés par les régimes autoritaires pour se maintenir en place. Cela engendre une société où la liberté d’expression est absente, et où les tensions sociales s’intensifient. Le climat de peur installé par cette répression finit par miner la confiance des citoyens envers leurs institutions et à accroître le ressentiment populaire.
Cette répression exacerbe les clivages sociaux et attise les tensions. Le dirigeant cherche à diviser pour mieux régner, opposant différents groupes sociaux et provoquant ainsi des affrontements internes.
Ce phénomène, observable en RDC montre comment la manipulation et la persécution fragmentent la société. Plus les tensions sont attisées, plus il devient difficile de rétablir la paix et la cohésion sociale. La polarisation croissante sape les fondements de l’unité nationale, laissant un pays en proie aux divisions internes.
Sur le plan international, Felix Tshisekedi se retrouve également isolé. La communauté internationale, y compris des institutions religieuses influentes comme l’Église catholique, condamne sa gouvernance. L’isolement diplomatique n’est pas sans conséquence : il limite les échanges commerciaux, réduit les investissements étrangers et fragilise l’économie nationale.
En implorant la commisération dans toutes ses sorties officielles, il témoigne de son incapacité à faire face aux défis structurels qui secouent son pays.
Son gouvernement est fondé sur la corruption et le népotisme perdant rapidement leur crédibilité. il devient ainsi un « boulet » pour ses compatriotes, alourdi par son incapacité à gérer efficacement les ressources et par sa désinvolture face aux problèmes structurels de son pays.
L’échec de sa gouvernance est aggravé par la confusion qui règne dans les institutions, une confusion que les citoyens perçoivent de plus en plus comme de l’incompétence.
Enfin, Felix Tshisekedi est voué à sortir par la « petite porte » de l’histoire, en tant que figure tragique ayant échoué à transformer son pays. Les forces de destruction sociale qu’il a libérées ont pris une dimension irréversible. Sa gouvernance, marquée par la division, la manipulation et la répression, ne peut mener qu’à une déliquescence totale du tissu social.
Les partisans du régime, pour pallier les dysfonctionnements internes, sèment le chaos, rendant le pays ingouvernable. Ce modèle de gouvernance rappelle les leçons de l’histoire, où Mobutu Sese Seko au Zaïre a mené le même pays au bord du gouffre par des politiques similaires d’enrichissement personnel, de mensonges d’État et d’absence de vision à long terme.
Une véritable illustration des conséquences d’une gouvernance basée sur la corruption, le manque de vision, et l’absence de valeurs morales. Les sociétés, tout en étant résilientes, ne peuvent survivre indéfiniment à une politique d’illusion et de déni. C’est un avertissement pour les nations et leurs dirigeants : la légitimité ne se gagne pas par des manipulations temporaires, mais par une gestion juste, éthique et transparente des affaires publiques.
En somme, Felix Tshisekedi représente un cas d’école de gouvernance ratée, où les erreurs stratégiques, l’isolement diplomatique, et la division sociale mènent inévitablement à l’échec.
La politique ne peut reposer sur le mensonge sans provoquer à terme des fractures irréparables. Pour éviter ce type de tragédie, les dirigeants doivent embrasser des valeurs d’intégrité, de transparence et de respect des droits des citoyens, seuls fondements d’une gouvernance durable.
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