Les crimes et trahisons de Tshisekedi

Redigé par Tite Gatabazi
Le 1er mars 2025 à 05:20

Le 27 février 2025, à Bukavu, un crime d’une ampleur inouïe s’est inscrit dans l’histoire du Congo, une tragédie dont la mémoire restera gravée dans les âmes des innocents, une date marquée au fer rouge du mal.

Ce jour-là, Félix Tshisekedi, dont le nom désormais résonne comme une malédiction, verra son âme brisée par la vérité qui, telle une flèche enflammée, transpercera les voiles de sa dissimulation. Ce crime, commis dans l’ombre de la violence et du ressentiment, sera un jour raconté avec une rigueur implacable, par la vérité, pour la vérité, une vérité qui n’aura plus de place pour les mensonges.

Comme en 2023, lorsque la Garde Républicaine, ce bras armé de la terreur, s’était abattue sur Goma dans une effusion de sang aveugle, cette nouvelle atrocité criera vengeance, résonnant dans les cieux comme un appel désespéré des âmes sacrifiées.

Le peuple de Bukavu, vibrant d’un espoir tout neuf, plein de ferveur et de dignité, s’était réuni, là, sur la place du 24, dans une communion profonde, unie par la promesse d’un avenir libéré, d’une république renouvelée. La Révolution Constitutionnelle, portée par des hommes d’honneur et de courage comme Corneille Nangaa, Sultani Makenga et Bertrand Bisimwa, avait trouvé en Bukavu son terreau fertile, et la foule, composée d’hommes, de femmes, d’enfants, avait entonné l’hymne sacré de la nation, Debout Congolais, défiant ceux qui, dans l’ombre, rêvaient de sa division.

Mais cette lumière a été brutalement étouffée par l’ombre d’un pouvoir aux abois, rongé par la peur et l’envie. Le président, dans une jalousie insoutenable, n’a pu supporter de voir son peuple s’élever contre lui, de voir des millions de Bukaviens se tenir ensemble dans un élan de fraternité et d’espoir. Et dans une lâcheté abominable, il a choisi de frapper dans le dos, d’envoyer ses sicaires semer la mort parmi ceux qui, l’instant d’un souffle, avaient osé rêver.

Après le départ des libérateurs, après la fin d’un meeting pacifique, des bombes, ont explosé dans la foule, semant chaos et désolation, comme une signature du mal qui s’abattait sur eux.

Ce geste infâme n’est que le dernier acte d’une série de crimes, un crime contre l’humanité, une abjection pure et simple. Félix Tshisekedi s’est rendu coupable d’une ignominie qui ne se perdra pas dans l’oubli. Chaque goutte de sang versée à Bukavu, chaque vie fauchée sous ses ordres, alourdit un peu plus la condamnation de celui qui a trahi la confiance de son peuple.

Il est désormais pris dans un « dilemme cornélien » d’honneur et de déshonneur. Son pouvoir, plus fragile que jamais, se tient sur une base de corruption et de violence. Achats de consciences, manipulation des médias, complaisance des élites corrompues, voilà les armes de ce « lâche de Kinshasa » qui, pour se maintenir au pouvoir, a sacrifié la dignité et la vie de son peuple. Il s’entoure de ministres, de députés, de sénateurs qu’il achète avec l’argent et les ressources du pays, se jouant de la politique, jonglant avec des vies humaines comme des pions sur un échiquier sale.

Mais tout cela, comme un château de cartes, s’effondrera sous le poids de la vérité. Le crime de ce 27 février 2025 à Bukavu, comme tant d’autres crimes sous ce régime, sera dévoilé, raconté dans toute sa cruauté, et Félix Tshisekedi en paiera le prix.

Ce jour, où il a choisi de verser le sang innocent des Bukaviens pour conserver son pouvoir, marquera le début de sa chute. Le peuple ne pardonne pas, et l’Histoire, elle, n’oublie rien.

Bisimwa Bertrand et Corneille Nangaa

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