Aujourd’hui encore, ces crimes se poursuivent, soutenus par des milices extrémistes, dites « Wazalendo », armées, financées et coordonnées par le gouvernement de Félix Tshisekedi. Les populations ciblées sont exterminées, déplacées, dépouillées de leurs biens et privées de tout moyen de subsistance. Les villages de Minembwe et les localités environnantes sont assiégés depuis 2017, coupés de toute assistance humanitaire vitale.
La communauté internationale, pleinement consciente et témoin direct des exactions qui se déroulent au grand jour en République démocratique du Congo, ne saurait tolérer la manipulation manifeste orchestrée par le gouvernement congolais. Le cynisme de Félix Tshisekedi atteint son paroxysme avec l’organisation à New York d’un événement intitulé « Trente ans de conflits armés en RDC : appel à la reconnaissance des génocides oubliés ou ignorés », qui se présente comme un appel à la vérité et à la justice tout en détournant l’attention de la réalité crue : l’épuration ethnique ciblant les Tutsi, hema et les Banyamulenge, orchestrée sous sa direction.
Cette manœuvre, savamment construite, cherche à réécrire l’histoire et à masquer la souffrance persistante des communautés martyrisées, transformant un moment internationalement symbolique en instrument de diversion et de légitimation d’une politique de haine et de violence dont le prix humain est effroyablement réel.
La présence d’officiels internationaux à cette manifestation pourrait être interprétée comme une caution au discours de haine et à la politique de ciblage ethnique du régime, alors même que les Tutsi, Banyamulenge et hema continuent de périr dans le silence et l’indifférence. La complicité passive devient alors crime par omission.
Appel solennel : justice et action immédiate contre l’impunité
À la communauté internationale : il est impératif d’agir avec célérité. L’administration américaine, le gouvernement qatari, le Conseil de sécurité de l’ONU et l’ensemble des partenaires mondiaux doivent exiger que Kinshasa mette fin immédiatement à l’armement et au financement des milices extrémistes, mercenaires et engage un véritable processus de dialogue et de réconciliation. La survie de centaines de milliers de Congolais, la crédibilité du système multilatéral et l’honneur des institutions internationales sont en jeu.
Les survivants contraints à l’exil et privés de toute protection par la mère patrie, appellent à une intervention urgente : protéger les communautés, reconnaître les crimes commis, juger les responsables et réparer les préjudices.
Le silence ou l’inaction seraient un parrainage tacite de la haine et de la mort. La responsabilité est claire et immédiate : la justice ne peut plus attendre. Les dirigeants mondiaux sont désormais juges et témoins : chaque hésitation, chaque compromission légitime le cycle de violence et condamne l’avenir des Tutsi, hema et Banyamulenge à la répétition des massacres. L’heure est à l’action, ferme et décisive, sous peine de complicité historique.

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